Exposition de Giovanni RUBINO et Guy DIVETAIN

8 mai 2015 - 6 juin 2015
Giovanni RUBINO illustre « une feuille de céramique », Poèmes d’Alain Freixe et Raphaël Monticelli.
Giovanni RUBINO, peintre, sculpteur, vidéaste, travaille sur la mémoire, la société, la démocratie. Il recueille, par frottage ou vidéo, sur des monuments, stèles ou plaques commémoratives, les traces réelles ou historiques du passage d’hommes, qu’ils soient inconnus ou célèbres, qui ont fait don à l’humanité d’une partie d’eux-mêmes, parfois jusqu’à la mort.

Ce n’est pas le cas de l’ouvrage que nous présentons ici, ni des pièces exposées, puisqu’il a demandé à des poètes de graver dans le plâtre un texte de leur cru, avant d’en réaliser l’empreinte et le tirage. Il nous livre ainsi deux moulages de poèmes gravés par leur auteur et leur empreinte prise par frottage.

Une vidéo réalisée par Marialuisa Pani portant sur un travail commun de nos deux artistes, Guy et Giovanni, sera projetée durant l’exposition.

Guy DIVETAIN illustre « de la danse » d’Henri Maccheroni
« J’aime la danse, elle me touche, et c’est vrai que j’envisageais volontiers d’en capter l’humeur, d’en respirer les secrets » – cette envie que nous livre Guy DIVETAIN s’est réalisée lorsqu’il rencontra Carolyn Carlson et Susan Buirgue, et s’est renforcée. C’est finalement au début des années 2000 qu’il pourra reprendre ce travail avec le ballet de Nice.

Les photographies présentées au cours de cette exposition et illustrant ce nouveau portfolio proviennent de cette série, et nous montrent à quel point Guy est fasciné par cet univers de corps en danse… peut-être en transe… par ces moments pleins de vie, de grâce et de sensualité… ce qu’Henri Maccheroni nous fait également bien ressentir.

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Dès les années 70 Max Charvolen travaillait la toile brute, libérée du châssis, par des jeux de découpes, de renversements et déjà l’importance du rapport entre œuvre et espace de monstration apparaissait. Depuis de nombreuses années l’œuvre colle à l’espace...

Exposition de Giovanni Rubino

Exposition de Giovanni Rubino

Lorsqu’il voyage, entre Milan et Nice
mais aussi partout ailleurs où son
travail le mène, Giovanni Rubino
garde en poche des carnets vierges
qui lui permettent de croquer, de
figer des instants partagés ou volés, à l’aide de quelques traits de crayon ou de feutre.